
Le processus thérapeutique se crée entre deux humains qui veulent avancer vers un but commun : mieux comprendre le fonctionnement de la personne qui consulte puis chercher ensemble des solutions pour remettre de l’essence dans le moteur, ou autrement dit du mouvement dans le corps et l’esprit.
C’est le principe de synergie.
La notion d’énergie, essentielles, ouvre un large champ d’action.
Les aliments se transforment en énergie moléculaire qui deviennent des nutriments pour les cellules.
Les influx nerveux pour créer un mouvement, sont de l’énergie électrique qui circule d’un point A (cortex moteur) à un point B (le muscle).
L’évènement est traité par le cerveau en analysant les informations : cela crée une émotion. Cette émotion se traduit par une cascade chimique dans le corps, encore une fois une énergie est générée par le corps et circule.
L’intention fait écho aux même processus, le Dr Masaru Emoto le met en évidence.
Les animaux, les minéraux et les êtres humains ont des champs magnétiques mesurables. Ils entrent en interaction.
La planète terre a elle aussi son énergie propre, on parle de taux vibratoire et de résonance de Schumann.
En effet en physique nous avons tous appris que la matière est constituée de particules, d’atomes mais surtout de vide. Ce vide est à visualiser comme étant de l’énergie puisqu’il est chargé d’une certaine densité … une fréquence. Les principes de non séparabilité et d’intrication en physique quantique, par le paradoxe EPR, démontrent que les particules élémentaires ont une mémoire, ce qui explique tout l’intérêt du travail psychologique mais aussi énergétique.
Par exemple, lorsque nous sommes amoureux ou très en colère ce fameux vide est chargé d’une densité précise, on peut dire que notre corps vibre d’une certaine façon. Ce vide s’accorde sur ce que nous vivons à un instant T. On parle encore une fois de taux ou de fréquence vibratoire : la joie a un taux de vibration élevé, la peur à l’inverse crée un taux vibratoire bas.
Lorsque la maladie fait irruption dans le corps, il est question de terrain. Un corps qui vit des émotions sans les exprimer, les garde à l’intérieur, “enfouies” en soi. Ce corps a pourtant besoin de les manifester … et la maladie est parfois sa manière de l’extérioriser.
En effet le corps nous envoie énormément de messages que nous n’avons pas appris à écouter. À décoder. Et ce n’est pas un hasard si nous employons autant d’expressions telles que : Ne te mets pas la rate au court-bouillon / J’en ai plein le dos / Je me suis jeté corps et âme / Il me tient la jambe / C’est vertigineux / Je n’ai pas les épaules / J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps / J’ai la gorge nouée / Se sentir mal sans sa peau, etc.
Le thérapeute vient donc mettre le doigts sur tout ces maux, en vue de choisir ensemble les bons mots afin d’identifier les émotions.
La psychomotricité utilise le corps en mouvement pour venir créer des résonances entre ce qui se passe dans la tête et ce que notre corps essaie de nous dire. L’émotion qui passe alors par le corps vient donner du sens à l’émotion vécue de façon totalement interne. On parle de mise en mouvement de la pensée, de mise en sens.
Oui, nous avons bien le pouvoir de modifier la bio-chimie de notre cerveau !
J’aime dire dans mes séances :
“ Nous utilisons les sens (perception), pour donner du sens (signification), et retrouver un sens (direction).”